Le potentiel de développement de l’usage des transports publics dans les territoires transfrontaliers doit être encore structuré et renforcé (à titre d’exemple actuellement, seuls 5% des trajets transfrontaliers sont faits en transports publics au sein de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai).
Les bassins de vie transfrontaliers devraient être optimalisés via les réseaux de mobilité existants et leurs connexions de part et d’autre des frontières internes de l’Union européenne.
Pour les frontaliers et les transfrontaliers, la mise en œuvre d’un véritable réseau de déplacements transfrontaliers (infrastructures, signalétique, logiques tarifaires, communication) permettrait une meilleure fluidité des déplacements ayant des retombées non-négligeables en matière économique et environnementale.