Projet de diversification agricole raisonnée

Une culture innovante : le bambou Géant

cette fiche projet s’inscrit dans les objectifs stratégiques

Créer les conditions propices au développement du tissu économique ; Soutenir les modes de production et de consommation durables

Notre projet collaboratif et adapté au territoire de la Wallonie picarde se développe autour de deux stratégies :

1. Avec l’agriculteur qui peut s’autofinancer

2. Via la création d’une structure investisseurs – agriculteurs

Quels sont les avantages de la culture du bambou géant ? • Culture pérenne à croissance rapide • Assainissement des sols • Purification de l’air (forte capacité d’absorption du CO2) • Pas de produits phytosanitaires • Eventail de débouchés de transformation • Rentabilité hors norme • Le bambou est la plante qui a le plus de débouchés : • Pour les chaumes de 1 à 3 ans : biomasse et cellulose (textile – bioplastiques – papier) • Pour le feuillage : alimentation animale • Pour les pousses : alimentation humaine, médecine, cosmétiques • Pour les chaumes à partir de 4 ans : ameublement – construction • Quelle rentabilité ? • Chiffre d’affaire moyen d’une bambouseraie à maturité (5ans) : de € 15.000 à € 22.000/ha/an (voir annexe) • Chiffre d’affaire moyen pour une culture céréalière : € 1.400/ha/an • Atout supplémentaire : Un hectare de bambou absorbe 16 fois plus de CO2(en moyenne, 100 tonnes de CO2/ ha/an)qu’un ha de conifère et produit 35% d’oxygène supplémentaire qu’un hectare de feuillus de différentes essences.

Objectifs à atteindre et valeur ajoutée

Par ce projet, nous avons l’ambition de participer à la relance de l’économie locale en préservant l’écologie.

Notre volonté est de créer des emplois en travaillant main dans la main avec des acteurs incontournables de la région :

IDETA, les CPAS,… afin de rentabiliser des terres improductives
Le Forem, des ETA, la Croix-Rouge, les intercommunales,… afin d’être acteur d’insertion professionnelle
Autres partenaires éventuels

Les structures investisseurs– agriculteurs permettront de dégager du cash-flow indispensable à l’investissement dans des structures locales de transformation de la matière première pour toutes les filières possibles (process déjà en cours ; isolants pour maison, biomasse…).

réalisation attendues

Nos réalisations attendues à l’horizon 2040 :

Par ce projet, nous avons l’ambition de participer à la relance de l’économie locale en préservant l’écologie. Notre volonté est de créer des emplois en travaillant main dans la main avec des acteurs incontournables de la région : • IDETA, les CPAS,… afin de rentabiliser des terres improductives. • Le Forem, des ETA, la Croix-Rouge, les intercommunales,… afin d’être acteur d’insertion professionnelle. • Autres partenaires éventuels Les structures investisseurs– agriculteurs permettront de dégager du cash-flow indispensable à l’investissement dans des structures locales de transformation de la matière première pour toutes les filières possibles (process déjà en cours ; isolants pour maison, biomasse…).
Par ce projet, nous avons l’ambition de participer à la relance de l’économie locale en préservant l’écologie. Notre volonté est de créer des emplois en travaillant main dans la main avec des acteurs incontournables de la région : • IDETA, les CPAS,… afin de rentabiliser des terres improductives. • Le Forem, des ETA, la Croix-Rouge, les intercommunales,… afin d’être acteur d’insertion professionnelle. • Autres partenaires éventuels Les structures investisseurs– agriculteurs permettront de dégager du cash-flow indispensable à l’investissement dans des structures locales de transformation de la matière première pour toutes les filières possibles (process déjà en cours ; isolants pour maison, biomasse…).

Success story : La firme OnlyMoso, initiatrice du projet, assure par contrat le rachat total de la production pendant une durée minimum de 10 ans à dater des premières récoltes. A terme, le développement du projet sur notre territoire permettra la création d’ateliers de transformation en local.

Porteurs et partenaires potentiels

Ideta, les CPAS, le Forem, les Intercommunales, la Croix-Rouge, des ETA…

financement

Pas de besoin de financement. Dans le premier cas, l’agriculteur s’autofinance. Dans le deuxième cas, nous faisons appel aux investisseurs et à des sociétés de crowdfunding afin de financer les cultures.

Nous étudions cependant les différentes possibilités d’aide pour les jeunes agriculteurs, les programmes de développement rural, les Fonds Européens d’aide au développement…